Dans ce calendrier, le début de l'année, c'est-à-dire les jours épagomènes, coïncide avec la réapparition de Sothis ainsi qu'avec l'arrivée de la crue, symbolisée en bas par Thot sur le pilier Djed.
On sait que l'année égyptienne ne comptait que 365 jours, d'où un décalage de environ 0,25 jour par an et un décalage des saisons par rapport à l'appelation des mois.
Ainsi, par exemple au bout de 480 ans, on avait un décalage d'une saison compléte (120 jours). Le calendrier retombait sur ses pieds environ tous les 1460 ans.
C'est en ce sens que ce calendrier dessiné est idéal.
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